Il a appelé au renforcement de la coopération entre les deux organisations pour sauver la vie de nombreux civils et personnes sans défense à Gaza.

Après cinq années de recherche intensive et de phases de production successives, le médicament est désormais prêt à être utilisé par les patients.

Grâce à cette réalisation, l'Iran devient l'un des trois pays au monde possédant les connaissances techniques nécessaires pour produire la matière première de l'ibrutinib, après l'Inde et la Chine.

La valeur réelle du marché mondial de ce médicament dépasse les 10 milliards de dollars, ont indiqué les responsables.

« Je félicite tous les [Iraniens], ceux qui sont actifs dans l'industrie spatiale du pays et les experts spatiaux du CGRI pour ce succès. Si Dieu le veut, cette année sera une année fructueuse pour l'industrie spatiale du pays », a écrit sur X ce membre du gouvernement iranien.

« Noor-1 », le premier satellite militaire iranien, a été lancé et mis en orbite avec succès par le transporteur Qassed en avril 2020. Il a été mis en orbite à une altitude de 425 km.

Le satellite « Noor-2 » a été placé en orbite à une altitude de 500 km après 480 secondes à une vitesse de 6,7 km/s en mars 2020.

A noter que mardi dernier, la ligne de production de médicaments « Alteplaz » a été inaugurée en présence du vice-président iranien chargé de la science.

Avec le lancement de la chaîne de production de ce médicament, l'Iran est devenu le deuxième pays à produire le seul médicament destiné au traitement de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu (AVC).

Les 19èmes Jeux asiatiques se déroulent dans la ville chinoise de Hangzhou. La compétition a débuté le 24 septembre et se poursuivra jusqu'au 8 octobre. Des athlètes de 45 pays y participeront, où ils concourront pour 481 médailles d'or.

En plus, Masoumeh Mohsenian a décroché la médaille d'or en battant sa challenger colombienne 3-1.

Zeynab Jafarnejad a gagné la finale de la catégorie des 55 kilogrammes, battant son homologue algérienne sur le score de 4-0 et décrochant l'or.

Le président du comité national des pêches Olivier Le Nezet a qualifié jeudi de « cataclysme » la fin annoncée de l'aide au gazole pour les pêcheurs, dénonçant la « trahison » du gouvernement face à une filière qui « joue sa survie », devant les assises de la pêche à Nice. « Cette filière est au bout du bout. Le soutien n'est pas à la hauteur », a-t-il affirmé, appelant le secrétaire d'État à la Mer Hervé Berville à « assumer un cataclysme qui sera la fin de la filière halieutique française », rapporte Le Figaro.

Hervé Berville est attendu vendredi matin à Nice. Samedi, il a confirmé que les aides à la trésorerie de 20 centimes (hors taxe) par litre de gazole s'arrêteraient le 15 octobre. Ces mesures, reconduites plusieurs fois pour un montant total de 75 millions d'euros, avaient été mises en place en mars 2022 pour aider les pêcheurs face à la flambée du gazole après la guerre de l'Ukraine.

Mercredi, les principales organisations représentant le secteur de la pêche ont dénoncé le « désengagement » de l'État, rappelant la succession de crises subies par les pêcheurs, du Covid à la flambée de l'énergie, en passant par le Brexit. 

« On est en train de rayer d'un revers de main l'identité maritime de la France. On est là pour nourrir la population. Il faut arrêter de se foutre de la gueule du monde », a tempêté le président du comité national. « En agriculture, on est capable quand il y a une crise du porc de mettre 270 millions d'euros sur la table. Et on n'est pas capable de mettre 50 ou 60 millions sur l'ensemble d'une filière (pêche) ? », a-t-il demandé.

Pourtant, il a jugé qu'il revenait à l'État de « prendre ses responsabilités », sans écarter la possibilité d'une aide venant du secteur privé. Il a sévèrement jugé l'action du gouvernement, dont il estime qu'il n'a pas assez plaidé la cause des pêcheurs à Bruxelles, notamment pour obtenir le relèvement du plafond des aides - octroyées par entreprise, quel que soit le nombre de navires.

La journaliste de Disclose autrice d'une enquête sur un programme de renseignement français dans un pays du nord d’Afrique, qui a passé quarante heures en garde à vue, s'est indignée jeudi 21 septembre qu'un "nouveau cap" ait été franchi contre la liberté d'informer, dénonçant un "détournement des services de la justice".

"Si on ne protège pas les sources, c'est la fin du journalisme", a insisté Ariane Lavrilleux, lors d'une conférence de presse organisée dans les locaux de reporters Sans Frontières (RSF) à Paris.

La journaliste d'investigation a raconté comment, mardi à 6 h, "neuf agents des renseignements et des magistrats d'ordinaire en charge de la lutte antiterroriste ont débarqué" chez elle à Marseille, avec des valises de "logiciels de cybersurveillance" "pour aspirer les données" de ses téléphones, ordinateurs, clé USB, rapporte France 24.

"Une juge d'instruction était présente sur place", et Ariane Lavrilleux a appris à cette occasion qu'elle "était placée sous surveillance depuis un certain temps", se sentant alors traitée comme une "délinquante".

"D'ordinaire, ils sont là pour traquer des attentats. Pendant des mois, ces cerveaux brillants ont été mobilisés pour traquer une journaliste, ses sources (...). C'est une violation extrême de la liberté d'informer et de la protection de sources journalistiques", a-t-elle répété.

Pour cette journaliste, cette "arrestation après des attaques qui se multiplient ces dernières années, essentiellement sous la présidence d'Emmanuel Macron", contre la liberté de la presse, montre qu'"on a franchi un nouveau cap".

Vous avez envoyé un message important pour le multilatéralisme dans le monde et vous avez joué un rôle décisif dans ce domaine à travers les BRICS, a déclaré Amirabdollahian.

En référence à la planification en cours de la visite officielle du président Raïssi en Afrique du Sud, il a invité la ministre sud-africaine des Affaires étrangères à se rendre en Iran.

Amir Abdollahian a déclaré : Pour nous, les relations avec l'Afrique du Sud sont une priorité très importante et nous n'avons aucune restriction sur le développement des relations avec ce pays.

À son tour, la ministre sud-africaine des Affaires étrangères a déclaré : « Nous avons jeté de bonnes bases pour les relations bilatérales et nous devons renforcer ce processus ».

Naledi Pandor a exprimé sa satisfaction quant à l'adhésion de l'Iran aux BRICS, et a évoqué la demande de divers pays du monde de rejoindre ce groupe et de coopérer avec lui, et a exprimé son espoir que les BRICS seront une organisation tournée vers l'avenir pour les futurs développements mondiaux.

Au cours de la réunion, des points de vue ont également été discutés et échangés sur certains sujets d'intérêt pour les deux pays aux niveaux régional et mondial.

Amirabdollahian s'est dit heureux de rencontrer M. Albudaiwi et a souligné l'importance du développement des liens entre l'Iran et les pays du sud du golfe Persique.

Il a ensuite évoqué son récent voyage dans les pays du Golfe Persique et l’initiative de l’Iran en déclarant : « Nous avons proposé la création d’un forum de dialogue et de coopération ».

Amirabdollahian a ajouté qu’aujourd’hui, les dirigeants régionaux montrent plus d’intérêt pour la coopération que pour les pourparlers, [et] donc l’initiative de l’Iran a été bien accueillie.

Il a souligné que toute divergence dans la région doit être résolue par des négociations diplomatiques constructives.

M. Albudaiwi a également salué la tendance croissante des liens entre l'Iran et les États membres du Conseil de coopération du golfe Persique, affirmant que le golfe Persique est une région stratégique et qu'heureusement, dans ce nouvel environnement, il y a de la place pour une plus grande coopération entre les pays de la région.

Le chef du PGCC a déclaré que les tensions dans la région sont préjudiciables à toutes les parties et que l'organisme salue les efforts de l'Iran pour renforcer la coopération régionale.

Il a ajouté qu'il est nécessaire d'intensifier les efforts pour accroître le dialogue et présenter des initiatives visant à renforcer la coopération.

Amirabdollahian et Albudaiwi ont également discuté de certaines questions d'intérêt régional dans le but de créer une atmosphère constructive et de renforcer la coopération proportionnée aux nouvelles conditions et exigences de la région.

Amirabdollahian a en outre invité le secrétaire général du PGCC à se rendre en Iran, ce qui a été bien accueilli par Albudaiwi.